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Bordeaux Métropole opte pour le numérique responsable

La métropole de Bordeaux a mis en place une politique numérique responsable engagée. L’un des axes repose sur l’évaluation de l’impact environnemental et l’empreinte carbone des divers équipements et services de la collectivité en temps réel. Une initiative qui permet d’optimiser les décisions d’achat et de gestion du matériel.

Entretien avec Jean-Noël Olivier, directeur général du numérique et des systèmes d'information de Bordeaux Métropole

Parole de collectivité
Jean-Noël Olivier, directeur général du numérique et des systèmes d'information de Bordeaux Métropole - Crédit photo : Bordeaux Métropole
Gouvernance et socles technologiques

Ce projet est présenté par :

  • Jean-Noël Olivier, directeur général du numérique et des systèmes d’information de Bordeaux Métropole

Parole de collectivité

Afin de vous permettre de mieux appréhender la mise en place des projets numériques, data et IA sur votre territoire, aquagir part à la rencontre d’élus et de porteurs de projets qui sont passés à l’action

Comment la notion de numérique responsable s’est-elle imposée à l’agenda de votre collectivité ?

En 2016, la métropole de Bordeaux a mené un projet important de mutualisation du numérique. Cette notion implique de se préoccuper, de façon globale, de la manière dont on déploie le numérique sur le territoire. Il s’avère qu’après consultation des services, et avec le regroupement de tous les data-centers du territoire dans trois entités, nous avions déjà en perspective cette dimension environnementale du numérique.

Dès 2021, les élus des différentes villes qui composent Bordeaux Métropole ont porté et ont fait voter des ambitions numériques. Et dans ces dernières, la dimension de l’impact du numérique s’est confortée avec un nouveau vote, datant d’il y a maintenant un an, au profit d’une politique numérique responsable engagée pour un numérique choisi et non subi, un numérique attentif à ses impacts sociaux, sociétaux, environnementaux et éthique. Un engagement concret avec 40 actions et 40 objectifs mesurables. Parmi eux : la mise en œuvre d’un marché dédié à l’achat d’équipements informatiques reconditionnés, l’augmentation (à hauteur de 50% minimum) du volume d’équipements reconditionnés en regard du nombre d’équipements réformés, la conception de services numériques répondant aux meilleures pratiques d’écoconception, une politique d’achat numérique responsable conforme au Schéma de Promotion des Achats Publics Socialement et Ecologiquement Responsables (SPASER) de Bordeaux Métropole ou encore la mise en œuvre d’un éco-score permettant une mesure des impacts environnementaux et sociaux induits par un projet numérique. Étant moi-même au COMEX de Bordeaux Métropole, je vous confirme qu’il s’agit désormais d’un sujet porté au plus haut niveau de la collectivité.

Quelles sont les sources d’inspiration que vous avez suivies pour vous faire une idée de ce projet ?

Il n’y a pas forcément eu d’inspiration, il y a plutôt eu une réflexion menée sur la nature du numérique dans la ville. Le numérique transforme le territoire, il transforme la société et il s’impose à nous. À partir du moment où l’on porte une vision en matière de numérique sur un territoire, il faut s’interroger sur la façon dont il vient impacter les comportements et parfois l’économie. Nous sommes à l’initiative d’actions sur l’inclusion numérique. Nous avons lancé il y a un an un observatoire sur les inégalités numériques et avons interrogé plus de 5000 personnes sur le territoire. Il s’avère que 19 % des habitants de Bordeaux Métropole sont en difficulté avec les démarches numériques.

Nous avons également mené des travaux assez poussés avec Airbnb. Il s’agit d’actions de captation et d’analyse des données pour accompagner la mise en place et l’évaluation de la réglementation nationale sur l’encadrement des locations meublées, notamment sur la Ville de Bordeaux. En s’appuyant sur une analyse fine des données des différentes plateformes, nous avons pu optimiser les campagnes de contrôle au bénéfice d’une nette augmentation des déclarations de locations et une baisse substantielle de l’offre, profitant ainsi au maintien de l’habitat long en centre-ville.

En termes d’approche, nous défendons la logique des trois U : un numérique utile, utilisable et utilisé. Cela passe, dans nos politiques et dans nos intentions, par arrêter la course à la Smart City. Il faut mettre le hola sur le déploiement des technologies qui ne servent qu’à signifier que l’on déploie des technologies. Quand on décide d’utiliser le numérique, on doit toujours se poser la question du pourquoi avant celle du comment.

Est-ce qu’une étude de faisabilité et/ou d’impact a été réalisée sur ce projet ?

Nous avons plus de 50 agents et élus qui se sont mobilisés pendant plus d’un an pour réfléchir et concevoir ensemble ce que pourraient être les enjeux d’une politique numérique responsable à l’échelle d’un territoire. Cette mobilisation ne s’est pas limitée aux agents spécialisés sur les équipements numériques. Elle a impliqué l’ensemble des métiers de la Métropole dans un travail de fond : transition écologique, commande publique, ressources humaines, archives, développement économique.

Ensuite, nous ne voulions pas nous en tenir au simple effet de mode qui consiste à dire : “on va faire notre bilan carbone en matière de numérique”. Nous avons fait le choix d’aller à rebours de cette simple photographie en cherchant le juste équilibre entre la valeur des services qu’on déploie et les externalités négatives.

Lors de la phase de diagnostic et de planification, comment la collectivité a-t-elle assuré le bon dimensionnement du projet et l’adhésion des citoyens ?

Nous avons mené un travail de fond pendant un an qui a amené à une délibération politique. Nos élus ont voté, pour l’horizon 2026, 40 engagements et 40 indicateurs chiffrés avec pour ligne directrice le numérique responsable. C’est une approche très concrète

Comment la collectivité a-t-elle financé ce projet et quelles sont les aides sollicitées/obtenues ?

C’est une question assez difficile. Finalement, on dédie assez peu de moyens au numérique responsable, puisque dans notre manière d’opérer, nous avons considéré que notre stratégie numérique était portée dans nos actions. C’est une façon différente de penser le numérique. Aujourd’hui la question qui se pose avant de lancer un projet, c’est effectivement comment nous l’évaluons, il n’y a pas vraiment de référentiel qui existe aujourd’hui là-dessus. Forcément, si on parle d’éco-conception de sites, là, ça entraîne évidemment un surcoût dans le développement de projets. L’éco-conception – au même titre que la sécurité ou l’accessibilité – entraîne des surcoûts. Avec un peu de recul, je dirais que notre politique numérique responsable ne génère pas forcément des coûts supplémentaires quantifiables. Elle nous amène à travailler différemment.

Quels sont les autres acteurs qui vous ont accompagné dans la préparation et la réalisation de ce projet ?

Nous nous sommes alliés aux services d’une jeune entreprise à mission nantaise qui s’appelle Aguaro. Nous avons travaillé avec eux dans le cadre d’un partenariat d’innovation pour évaluer en temps réel l’impact carbone de l’achat et de l’utilisation de l’ensemble de nos équipements numériques. Cela nous permet effectivement aujourd’hui, de connaître de façon très concrète, l’empreinte de notre parc numérique et plus largement des services numériques que nous délivrons.

Notre approche pragmatique est aussi une approche d’ouverture. Elle s’est donc opérée avec beaucoup de collaborations externes à l’échelle européenne, nationale, régionale, locale. Nous sommes membres de l’Institut du numérique responsable et nous sommes adhérents de Planet Tech’Care.

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Le projet en détails

Dates clés

2021

Mise à l'agenda

2021

Compétences : Système de mesure dynamique de l’empreinte carbone numérique de Bordeaux Métropole

2022

Réalisation

Chiffres clés

40

engagements et indicateurs liés à la politique numérique responsable de Bordeaux Métropole à horizon 2026

765

tonnes d’équivalent CO2 en 2023 pour l’empreinte carbone des équipements numériques, en baisse par rapport à l’empreinte globale de 12 732 tonnes en 2022

50%

du périmètre et volume de l’empreinte carbone numérique calculés automatiquement

À retenir

Cette innovation a des conséquences directes sur nos actions. Aujourd'hui, quand un utilisateur va demander un équipement numérique supplémentaire, il a tout de suite non seulement connaissance du prix, mais aussi de l'impact carbone de cet achat potentiel. Cela signifie que lorsqu’on prend la décision d'augmenter notre parc numérique à travers l’achat de nouveaux équipements, nous avons directement une estimation de l'impact futur de ce choix sur l’empreinte de notre parc.

Cette approche nous a permis de travailler sur nos politiques d’achat, sur la durée de vie de nos équipements, et donc plus généralement de revoir nos habitudes. Entre 2021 et 2023, nous avons réduit notre empreinte carbone en matière d'équipement numérique de 2380 tonnes.

Nous tâtonnons encore un peu concernant l’évolution des changements d’usage du numérique. Il est trop tôt pour savoir si le projet a été bénéfique sur ce point. Les technologies numériques sont en constante évolution et en accélération permanente. Nous avons des attentes et des demandes qui viennent de tous les services. C’est difficile de faire comprendre cette démarche de sobriété à l'ensemble des secteurs de la collectivité. Comment rester à la pointe tout en voulant reprendre la maîtrise ? Voilà un jeu d'équilibriste.

Les acteurs de la filière eau impliqués dans ce projet

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En savoir plus sur Bordeaux Métropole

Nombre d'habitants

830 000

Nombre de communes

28

Données de contact

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